Le Losc déficitaire… et bientôt sous pavillon étranger

Revue de presse du 15 décembre : quatre infos sur la région lilloise repérées par la rédaction de Mediacités

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Revue de presse du 15 décembre : quatre infos sur la région lilloise repérées par la rédaction de Mediacités

Guerres internes au PS
La fédération PS du Nord a communiqué vendredi la liste de ses candidats pour les élections législatives de juin 2017. Enfin, une partie seulement… Car plusieurs circonscriptions font l’objet de querelles internes, raconte France 3 Nord‐Pas‐de‐Calais. Ainsi, François Lamy, proche de Martine Aubry, souhaite se présenter dans la première circonscription, comme Bernard Charles, adjoint de la maire de Lille. Par ailleurs, dans la douzième circonscription, le PS ne souhaiterait pas réinvestir le député sortant Christian Bataille, et envisagerait de désigner une femme candidate.

Le Losc déficitaire…
Mercredi, l’assemblée générale du Losc, qui réunit les actionnaires sous l’autorité du président, Michel Seydoux, a livré son verdict : le club de football lillois accuse un déficit de 18,1 millions d’euros pour la saison passée, selon « L’Equipe. Cet été, le Losc a dû vendre plusieurs joueurs majeurs de son effectif afin de résorber ce déficit structurel.

Et bientôt sous pavillon étranger
Football toujours : cette semaine, Mediacités se demande si le rachat du Losc par l’homme d’affaires Gérard Lopez est vraiment souhaitable pour le club. France 3 Nord‐Pas‐de‐Calais enquête sur le montage financier de cette vente. Le businessman hispano‐luxembourgeois devrait acheter les actions du club par l’intérmédiaire d’une société britannique Victory Soccer Limited, propriété de Chimera Consulting Limited, enregistrée à Hong‐Kong, une place offshore où la fiscalité est très avantageuse pour les sociétés qui opèrent commercialement hors de son territoire.

Roubaix combat l’abstention
A Roubaix, les habitants se déplacent moins qu’ailleurs pour aller voter. La commune a même été affublée du titre peu glorieux de « capitale de l’abstention ». Mercredi, Julien Talpin, chercheur au CNRS, décrypte sur 20Minutes.fr les raisons de cette spécificité roubaisienne. « Ce qui ressort de mes travaux, c’est une forte résignation démocratique et notamment une forte déception face aux promesses non tenues », explique‐t‐il. Les associations locales, elles, ne ménagent pas leurs efforts pour faire baisser l’abstention et effacer ce triste surnom qui colle à la peau de leur ville.

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Par Sylvain Morvan