Les règles ont changé. Le 10 juillet dernier, l’Assemblée nationale a adopté la « loi PLM », acronyme de « Paris, Lyon, Marseille », qui modifiera dès les élections de 2026 le mode de désignation des conseillers municipaux dans les trois plus grandes villes de France. Le vote a été obtenu dans un hémicycle clairsemé (142 votants sur 577 députés) au terme d’une procédure menée au pas de charge, avant la pause estivale des parlementaires. « Il y a eu une vraie volonté de faire passer le texte à marche forcée », blâme la députée socialiste du Rhône Sandrine Runel.
Voilà pour la forme. Alors que sur le fond, cette réforme, pensée en haut‐lieu pour favoriser la candidature de la ministre de la Culture Rachida Dati à l’hôtel de ville de Paris, pose tout autant question. Particulièrement à Lyon. On vous explique.
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