L'ancien maire de Givors a été définitivement condamné en juin dernier à six mois de prison et trois ans d'inéligibilité pour prise illégale d'intérêts. Une peine plus lourde que celle prononcée avant son recours devant la Cour de cassation.
Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras. C’est sans doute ce qu’aurait dû se dire Martial Passi en 2019 avant de saisir la Cour de cassation pour faire annuler sa condamnation en appel pour prise illégale d’intérêts. Il avait été reconnu coupable d’avoir participé au recrutement de sa sœur comme directrice générale des services de la commune en 2015.
L’ancien maire (PCF) de Givors pendant vingt‐quatre ans et ancien vice‐président du Grand Lyon avait d’abord été
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Profitez de toutes nos enquêtes
Les informations exclusives de Mediacités sont le fruit du travail de nos rédactions locales. Soutenez un média 100% indépendant avec 0% de publicité !
Je m’abonne pour 69 € par an ou 7,90 € par mois
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- J’empêche les pouvoirs locaux de gouverner en rond
- Je peux résilier mon abonnement à tout moment et facilement