À Grande‐Synthe, l’invisible odyssée des migrants vietnamiens

Dernier arrêt avant l’Angleterre pour une dizaine de milliers de migrants par an, le bidonville de Grande-Synthe, près de Dunkerque, héberge aussi quelques centaines de Vietnamiens particulièrement exposés aux passeurs-mafieux. Enquête sur une migration fantôme.

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À l’entrée d’un campement, dans le bidonville de Grande-Synthe, une serviette qui sèche au vent laisse deviner l’origine de ses habitants. Photo : Nicolas Lee.

À droite, à gauche et en se penchant par‐dessus le volant, Thomas Gauthier examine les environs du parking de la zone commerciale de Grande‐Synthe. « Les CRS sont partout, ici. On va éviter de se faire contrôler et de se choper une amende… » Bénévole depuis 2013 dans l’association Wise, qui vient en aide aux exilés dans le nord de la France, ce trentenaire à la barbe poivre et sel cherche à gagner un camp de migrants qui voit passer quelque 9 500 personnes par an.

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Temps de lecture : 7 minutes

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Par Nicolas Lee