Fragile, en manque de visiteurs, le Dragon de Calais brûle du cash

Deux ans après son lancement, le spectaculaire Dragon des Mers n’a pas atteint le niveau de fréquentation espéré par la maire de Calais. D’après les premiers résultats financiers obtenus par Mediacités, la bête se révèle complexe et coûteuse à exploiter, et nécessite un énorme soutien municipal.

Dragon1
Le Dragon de Calais. Photo : Nicolas Barriquand

S’il ne rugit et ne souffle pas de la fumée et du feu aussi souvent qu’escompté, le Dragon de Calais est devenu en quelques mois l’organe premier de la communication municipale. La bête est spectaculaire, les touristes qui voyagent sur son dos sont généralement conquis et sa mise en service a accompagné une rénovation réussie du front de mer. Mais la mission que lui a assigné la maire Natacha Bouchart s’avère particulièrement difficile : changer l’image de la ville devenue, malgré elle, un symbole de la crise migratoire ; et donner le signal d’un renouveau économique.

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Profitez de toutes nos enquêtes

Les informations exclusives de Mediacités sont le fruit du travail de nos rédactions locales. Soutenez un média 100% indépendant avec 0% de publicité !
Je m’abonne pour 69 € par an ou 7,90 € par mois

  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • J’empêche les pouvoirs locaux de gouverner en rond
  • Je peux résilier mon abonnement à tout moment et facilement

Publié le

Modifié le

Temps de lecture : 6 minutes

Favorite

Par Morgan Railane, Aletheia Press