La « Loi olympique » au secours des promoteurs du YelloPark

Le YelloPark doit désormais voir le jour dans quatre ans s’il veut répondre à ses échéances sportives et rester dans le budget prévu. Pour tenir les délais, les porteurs du projet comptent sur la “Loi olympique” et ses mécanismes dérogatoires en matière d’urbanisme.

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Célébration de l'attribution des JO 2024 à Paris / Photo : Creative Commons - © Alexis ANICE - CRf 75

Le chrono tourne. Si elle veut accueillir une poignée de matchs du tournoi de football olympique dans le futur stade YelloPark, Nantes Métropole doit remettre sous peu un dossier technique auprès du Comité d’organisation des Jeux olympiques (COJO) de Paris 2024. Il viendra s’ajouter à celui initialement déposé pour La Beaujoire, enceinte « qui convient et qui n’est absolument pas questionnée », comme nous l’a répété le comité d’organisation. Prudent, ce dernier souhaite néanmoins se tenir loin des tensions et atermoiements
Tensions et atermoiements
Serge Quentin, garant de la Commission nationale du débat public (CNDP) qualifie la phase de concertation de « tendue, voir très tendue, émaillée d’oppositions parfois caricaturales en réunion et de propos agressifs sur les réseaux sociaux ». Quant aux hésitations publiques et privées, propres au trio de porteurs, elles ont notamment été rapportées par Ouest‐France, dans

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Par Thibault Dumas et David Picot

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