Sous la chaleur encore étouffante, ils sont une quarantaine à s’être réunis mardi, aux alentours de 19 heures, sur le quai Wilson, aux confins de l’île de Nantes, à proximité de hangars défraîchis.
Ces jeunes Nantais, majeurs de moins de 30 ans, aux visages défaits pour beaucoup, s’inquiètent pour Steve Maia Caniço, animateur périscolaire de 24 ans, disparu lors de la fête de la musique dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 juin. Tous étaient présents à la free party qui s’est tenue sur cette cette longue bande bétonnée parsemée d’herbes folles, d’une vingtaine de mètres de largeur. Le quai est bordé par la Loire boueuse d’un côté, une rangée d’imposantes roches de l’autre, délimitant une route déserte.
Nous vous offrons l’accès à cet article
Profitez de deux jours pour lire cet article et parcourir tous nos autres contenus :
En renseignant votre adresse e‑mail, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse e‑mail à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- Accédez aux 4 éditions de Mediacités gratuitement (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse) pendant 48 heures
- Découvrez un média 100% indépendant et sans aucune publicité
Notre survie dépend de vous
Un journalisme local indépendant, sans publicité, avec chaque semaine des enquêtes introuvables ailleurs : voilà ce que vous propose Mediacités. En vous abonnant aujourd’hui, vous pouvez faire la différence.
Je m’abonne
- Accès aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
- Résiliation facile à tout moment