Élus de l’opposition cantonnés au silence : un déni de démocratie locale

« Silence dans les rangs... de l'opposition ! » Dans la plupart des villes françaises, les élus minoritaires n'ont le plus souvent que très peu voix au chapitre. La loi leur donne pourtant accès à tous les outils de communication de la collectivité, réseaux sociaux compris. Enquête sur un droit trop souvent bafoué.

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« Tout élu devrait d’abord passer par la case “opposition” pour ressentir à quel point notre démocratie locale est fragile. » L’auteur de ce vœu, Laurent Carpels, sait de quoi il parle. Conseiller municipal d’opposition à Fretin dans la banlieue sud de Lille 

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Temps de lecture : 7 minutes

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Par Antony Torzec