A écouter les annonces qui se succèdent ces derniers mois, on pourrait croire que l’ère de l’hydrogène est arrivée. Une fièvre mondiale qui s’accompagne parfois d’un léger syndrome mégalomaniaque, la plupart des pays se disputant le rôle de pionnier ou de leader en la matière. Cette « hype » globale n’épargne pas la France : elle s’étend même aux quatre coins du l’Hexagone.
A Saint‐Nazaire, le 22 septembre, Matthieu Guesné, le fondateur de la société nantaise Lhyfe inaugure le premier prototype mondial de production d’hydrogène en mer. « Jamais personne n’avait fait flotter un électrolyseur », affirme‐t‐il alors. Baptisée « Sealhyfe » et relié à une éolienne en mer, cette plateforme de test capable de sortir 400 kilos d’hydrogène par jour préfigure des modèles 100, voire 200 fois plus puissants. Elle a bénéficié de subventions de
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