En contrepartie de l’autorisation environnementale de destruction d’espaces naturels et espèces protégées, sur les 380 hectares de l’emprise des travaux, le maître d’ouvrage de la future autoroute Toulouse‐Castres doit éviter, réduire, ou le cas échéant, compenser les dégâts (Voir Encadré). Mais il y a peu de chances pour que cette obligation légale soit de nature à rassurer les opposants, mobilisés dans le Tarn samedi malgré l’interdiction préfectorale, tant son application est décriée.
Mais d’abord, de quoi s’agit‐il précisément ?
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