Pour les cinéphiles, elle peut évoquer l’intriguant monolithe noir de 2001, l’odyssée de l’espace. « Moi, je l’ai surnommé l’Œil de Sauron », sourit une Lyonnaise qui l’a vu grandir depuis son balcon. Une référence, cinématographique là encore, à la terrifiante et sombre tour du Seigneur des Anneaux. Depuis le mois de janvier dernier, To‐Lyon a conquis le ciel, non pas du Mordor, mais du quartier de la Part‐Dieu.
170 mètres : le gratte‐ciel à l’aplomb de la grande gare de l’agglomération n’égale pas les 202 mètres d’Incity. Tout juste dépasse‐t‐il l’iconique Crayon (165 mètres). Mais sa silhouette noire et massive
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