« On l’a fait ! », fanfaronne sur le réseau social X, le collectif identitaire Némésis, ce jeudi 23 janvier dans la soirée. « Notre conférence a bien pu se tenir à Toulouse », malgré les protestations des forces politiques de gauche. Et surtout malgré l’arrêté d’interdiction de réunion pris, plus tôt dans la journée, par le maire de la ville, Jean‐Luc Moudenc. Si le groupuscule fémo‐nationaliste a pu trouver aussi rapidement une solution de repli, c’est, selon les informations de Mediacités et StreetPress, grâce à l’intervention discrète, mais efficace… du cabinet du maire de droite.
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