Prendre un verre en terrasse, déjeuner au restaurant, ou danser jusqu’au bout de la nuit en discothèque. Des petits bonheurs dont les femmes aimeraient profiter au quotidien sans être importunées, harcelées voire agressées… Car malheureusement, la réalité est tout autre. En Loire‐Atlantique, 2 042 personnes, très majoritairement des femmes, ont rapporté être victimes de violences sexuelles, hors cadre familial, en 2024, ce qui représente une hausse de 7,53 % par rapport à 2023. Une statistique inquiétante puisqu’elle ne représente que la partie émergée de l’iceberg : en France, 97 % des victimes de violences sexistes et sexuelles (VSS), hors cadre familial, ne déposent pas plainte auprès de la police ou de la gendarmerie.
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