Tout ça pour ça… Ces dernières semaines, la justice française aura beaucoup travaillé autour de l’appartement de François de Rugy à Orvault, près de Nantes. Pour un résultat équivalent dans les deux affaires concernés : la relaxe des prévenus. La première, prononcée le vendredi 2 avril, concernait Mediapart, qui avait été attaqué en diffamation par l’ancien ministre pour l’un des articles de la série concernant son train de vie (en l’occurrence celui sur ce logement « à vocation sociale » loué à Orvault) qui déboucha sur sa démission du ministère de l’Environnement.
Jeudi 15 avril, c’est le militant "maoïste" accusé d’avoir tagué l’immeuble où se trouve la résidence nantaise du député LREM qui a été relaxé