Un satisfecit. Et l’occasion de partir en vacances détendue… À mi‐mandat, voilà ce que l’institut Montaigne accorde à Johanna Rolland et à son équipe municipale et métropolitaine. Mardi 18 juillet, le think tank libéral, plutôt classé à droite, a publié un document consacré à l’action des élus des douze principales métropoles françaises.
Trois ans après les dernières élections municipales, il y compare la manière dont sont gérées les finances publiques ou mises en place des mesures favorables à l’environnement. Et, au final, Nantes ne s’en tire pas si mal. L’institut Montaigne parle même d’un « bilan à mi‐mandat encourageant », à l’exception de quelques points négatifs.
En matière de finances publiques, si les auteurs de l’étude jugent celles de Nantes « plutôt saines », avec un taux d’endettement inférieur à celui de communes équivalentes, ils s’inquiètent néanmoins de la dégradation de sa capacité de désendettement, passée de 4,6 années en 2021 à 6,8 années, deux ans plus tard. Quand bien même la ville reste assez largement en deçà du seuil d’alerte (10 ans), « la dynamique mérite d’être surveillée dans un contexte de hausse des taux d’intérêts », affirme le document.
« Bilan encourageant »
Peu avare en compliments, le think‐tank salue la politique d’investissement menée par la Ville comme la Métropole qui traduisent selon lui, « l’ambition municipale en matière de transition écologique. » C’est d’ailleurs à ce point précis qu’il s’intéresse ensuite, soulignant notamment la mise en place d’un …