Le PDG du Groupe Cahors a été condamné par le tribunal de Béziers à rembourser 93 000 euros d’impayés et de réparations de dommages - via une de ses SCI - dans le cadre d’un chantier sur l’une de ses propriétés. Une somme qu’il ne règlera pas pour cause d’insolvabilité.
Décidément, Grégoire Libert multiplie les démêlés judiciaires. Non content d’avoir attiré l’attention du parquet de Cahors suite à la liquidation d’une de ses filiales, mais aussi celle de la direction nationale des enquêtes fiscales, des affaires en cours d’instruction, le patron du groupe Cahors a été condamné dans une tout autre histoire à Béziers en décembre 2024.
C’est dans la ville de Robert Ménard que l’une de ses sociétés, la SCI Gremalib, a fait l’acquisition d’un élégant immeuble de type haussmannien, au 26 rue Diderot. Après avoir lancé des travaux importants, sur demande pressante de la mairie qui avait pris un arrêté de péril imminent, le financier a oublié de payer une partie de la note – près de 72 000 euros tout de même – à l’entreprise de construction, aujourd’hui liquidée.
Mis à l’arrêt, le chantier inachevé a provoqué d’importants dégâts des eaux sur le bâtiment voisin. Ses propriétaires ont attaqué l’indélicat en justice. En plus de la facture à l’entreprise de construction, la SCI que Grégoire Libert dirige avec sa femme, Maguelonne Libert, a été condamnée à payer plus de 21 000 euros …