« Tu dors dans ta chambre, ils ouvrent la porte violemment, ils rentrent, ils braquent une lampe torche sur toi et si tu es bien là, ils scannent ton QR code, raconte Mohamed*, 18 ans. Ils passent toutes les nuits, même les week‐ends. Ils viennent en général à 2 heures, 3 heures ou 4 heures du matin. » Mohamed a compté, jusqu’à peu, parmi les 150 jeunes migrants hébergés par Terramies, dispositif financé par
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