Harcèlement sexuel à l’université : relaxe sans explication d’un professeur de Lyon‑2

L’enseignant, suspendu en 2018 par l’université pour un comportement « susceptible de constituer un harcèlement sexuel à l’encontre de sa doctorante », avait déjà bénéficié d’une première relaxe de la part du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. Elle avait été annulée par le Conseil d’Etat. Cette nouvelle décision interroge sur le fonctionnement des instances disciplinaires universitaires.

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Sur le campus des berges de l’université Lyon-2. Photo : N.Barriquand/Mediacités.

Le Cneser persiste et signe. Dans un jugement en date du 21 septembre 2022, que Mediacités s’est procuré, la section disciplinaire du Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (Cneser, donc) réitère – sans 

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Publié le

Temps de lecture : 4 minutes

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Par Eva Thiebaud