Harcèlement sexuel à l’université : relaxe sans explication d’un professeur de Lyon‑2

L’enseignant, suspendu en 2018 par l’université pour un comportement « susceptible de constituer un harcèlement sexuel à l’encontre de sa doctorante », avait déjà bénéficié d’une première relaxe de la part du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. Elle avait été annulée par le Conseil d’Etat. Cette nouvelle décision interroge sur le fonctionnement des instances disciplinaires universitaires.

202211-Lyon2-Cneser
Sur le campus des berges de l’université Lyon-2. Photo : N.Barriquand/Mediacités.

Le Cneser persiste et signe. Dans un jugement en date du 21 septembre 2022, que Mediacités s’est procuré, la section disciplinaire du Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (Cneser, donc) réitère – sans 

Nous vous offrons l’accès à cet article

Profitez de deux jours pour lire cet article et parcourir tous nos autres contenus :

En renseignant votre adresse e‑mail, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse e‑mail à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • Accédez aux 4 éditions de Mediacités gratuitement (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse) pendant 48 heures
  • Découvrez un média 100% indépendant et sans aucune publicité

Notre survie dépend de vous

Un journalisme local indépendant, sans publicité, avec chaque semaine des enquêtes introuvables ailleurs : voilà ce que vous propose Mediacités. En vous abonnant aujourd’hui, vous pouvez faire la différence.
Je m’abonne

  • Accès aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
  • Résiliation facile à tout moment

Publié le

Temps de lecture : 4 minutes

Favorite

Par Eva Thiebaud