Les données se suivent, se ressemblent et conduisent toujours plus ou moins au même constat : le système éducatif français produit de la ségrégation scolaire. Ou, pour le dire autrement, pratique une forme de « tri social ». Après les collèges et les écoles, le ministère de l’Éducation nationale a publié mi‐janvier les indices de position sociale (IPS) de l’ensemble des lycées français, qu’il s’agisse de la voie générale et technologique, de la filière professionnelle ou des lycées polyvalents. Et, cette fois encore, ils révèlent d’importantes fractures. D’un territoire à l’autre mais aussi entre statut (public ou privé) comme entre filières (générale ou professionnelle).
Nous vous offrons l’accès à cet article
Profitez de deux jours pour lire cet article et parcourir tous nos autres contenus :
En renseignant votre adresse e‑mail, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse e‑mail à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Notre survie dépendra de vous
Un journal local, sans pub, qui enquête chaque semaine sur les pouvoirs locaux en toute indépendance. Voilà ce que propose Mediacités. Voilà ce que vous pouvez sauver en prenant ce [contre] pouvoir. Abonnez‐vous aujourd’hui, et faites la différence.
Notre survie dépend de vous
Un journal local, sans pub, qui enquête chaque semaine sur les pouvoirs locaux en toute indépendance. Voilà ce que propose Mediacités. Voilà ce que vous pouvez sauver en prenant ce [contre] pouvoir. Abonnez‐vous aujourd’hui, et faites la différence.
Je m’abonne
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je soutiens un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
- J’empêche les pouvoirs locaux de gouverner en rond
- Je peux résilier mon abonnement à tout moment et facilement