Il en va de notre démocratie locale comme de nos libertés individuelles : la crise sanitaire du Covid-19 la met à rude épreuve. Le 1er avril dernier, dans une ordonnance, le gouvernement a réorganisé le fonctionnement de nos collectivités « afin de faire face à l’épidémie ». Le texte donne les pleins pouvoirs, ou presque, aux patrons des exécutifs - maires, présidents de région, de département, de métropole. Ils peuvent s’abstenir de réunir leurs assemblées plénières, dont les conseils municipaux, et disposent de « la quasi-totalité » de leurs attributions, comme le souligne une note de l’Association des maires de France.
Pour autant, de l’hôtel de ville de Lyon au siège de la région Auvergne-Rhône-Alpes, en passant par celui de la Métropole, la vitalité démocratique en temps de confinement varie fortement comme l’illustre
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