Coup de chaud sur les budgets. Confrontés à l’explosion du coût de l’énergie, bon nombre d’établissements scolaires ont déjà épuisé leurs lignes budgétaires pour payer leurs factures de chauffage et d’électricité. Ils se retrouvent contraints de puiser dans leur fonds de roulement, un « matelas de sécurité » issu des excédents des années précédentes avec, à la clef, un affaiblissement de leurs finances pour les années à venir.
Exemple dans la cité scolaire Sembat‐Seguin de Vénissieux, qui regroupe un lycée généraliste et un lycée professionnel : près de 118 000 euros avaient déjà été dépensés à la fin du mois de
Nous vous offrons l’accès à cet article
Profitez de deux jours pour lire cet article et parcourir tous nos autres contenus :
En renseignant votre adresse e‑mail, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse e‑mail à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Notre survie dépendra de vous
Un journal local, sans pub, qui enquête chaque semaine sur les pouvoirs locaux en toute indépendance. Voilà ce que propose Mediacités. Voilà ce que vous pouvez sauver en prenant ce [contre] pouvoir. Abonnez‐vous aujourd’hui, et faites la différence.
Notre survie dépend de vous
Un journal local, sans pub, qui enquête chaque semaine sur les pouvoirs locaux en toute indépendance. Voilà ce que propose Mediacités. Voilà ce que vous pouvez sauver en prenant ce [contre] pouvoir. Abonnez‐vous aujourd’hui, et faites la différence.
Je m’abonne
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je soutiens un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
- J’empêche les pouvoirs locaux de gouverner en rond
- Je peux résilier mon abonnement à tout moment et facilement