Roxana Maracineanu, la nouvelle ministre des Sports, occupe un logement social

[INFO MEDIACITES] Depuis 2012, l'ancienne championne de natation loue un logement social à Clamart, dans les Hauts-de-Seine. Un appartement qu’elle a obtenu alors que le maire de la ville était le socialiste Philippe Kaltenbach, auprès de qui elle a fait ses débuts en politique. Elle assure, à Mediacités, qu'elle va déménager.

© École polytechnique – J.Barande
La ministre des Sports Roxana Maracineanu © École polytechnique – J.Barande

Roxana Maracineanu, la nouvelle ministre des Sports, va déménager. C'est du moins ce qu'elle affirme à Mediacités, suite à nos questions à propos du logement social qu'elle occupe actuellement avec sa famille, à Clamart (Hauts-de-Seine). Depuis le mois d'avril 2012, l'ancienne championne de natation loue un logement de type PLUS (Prêt locatif à usage social) majoré, géré par Clamart Habitat, l'office HLM de la ville.

Il s'agit d'un appartement situé dans un immeuble de cinq étages, sur une artère passante de cette commune du sud-ouest parisien. Le nom de Maracineanu et celui de son mari Franck Ballanger, journaliste à Radio France, figurent bien sur la boîte aux lettres. Tout comme celui des deux associations de la ministre (J’peupa G piscine et Educateam) et celui de son entreprise de conseil, Anaide. Roxana Maracineanu a obtenu ce logement alors que le socialiste Philippe Kaltenbach, auprès de qui elle a fait ses débuts en politique, était maire de la ville.

Après une brillante carrière de nageuse (elle fut championne du monde du 200 mètres dos en 1998 et médaillée d'argent aux Jeux Olympiques en 2000), Roxana Maracineanu s’est lancée en politique en 2010. Elle est alors consultante pour France Télévisions. Elle s’occupe aussi de la communication et de l’animation du stade nautique intercommunal de Châtillon Malakoff, dans les Hauts-de-Seine. Lors des élections régionales de 2010, elle figure en huitième position sur la liste départementale du Parti socialiste, menée par Philippe Kaltenbach.

Elle explique alors au journal . . .

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Publié le

Temps de lecture : 3 minutes

Par Sylvain Morvan