Logement très social : le bailleur Soliha 31 dans la panade

Cette structure, chargée de loger les personnes en grande difficulté, accuse un déficit de près d'1 million d'euros en 2019. Une situation qui la contraint à réduire la voilure à un moment où ses bénéficiaires sont fragilisés par la crise sanitaire.

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Achetés en 2014, l’immeuble et la chartreuse de la rue Lamothe Langon, à Toulouse, ont fait l’objet de travaux largement sous-évalués et sont encore en cours en cette fin 2020. / © Frédéric Scheiber

L’association Soliha Haute‐Garonne ne se retrouvera pas à la rue, mais elle paye cher sa gourmandise immobilière. Pour avoir maintenu un développement immobilier dispendieux malgré des alertes, l’association fait le grand plongeon sur son exercice 2019. Les comptes, consultés par Mediacités, affichent un déficit d’exploitation de 953 576 euros pour un exercice clôturé à moins 316 000 euros.

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Par Caroline Carissoni