Bien peu connaissent son nom. Pourtant, la voilà devenue l’une des femmes les plus puissantes du Grand Ouest. Carine Bernault, 49 ans, préside depuis le 1er janvier dernier l’armada Nantes Université. Une flotte de six établissements, dont les facs, le CHU, l’école d’archi (Ensan), les Beaux‐Arts (Esbanm) ou encore Centrale Nantes. 43 000 étudiants, 5 000 salariés, 42 laboratoires de recherche et 424 millions d’euros de budgets annuels cumulés…
Sur le papier, voici donc cette juriste, spécialiste de la propriété intellectuelle, à la tête de la cinquième université française. Dans les classements internationaux, on la trouve plutôt à la 20e place nationale. Mais les choses pourraient rapidement évoluer. Car l’ambiance est fébrile, ces derniers jours, dans les couloirs du bâtiment de la présidence
Nous vous offrons l’accès à cet article
Profitez de deux jours pour lire cet article et parcourir tous nos autres contenus :
En renseignant votre adresse e‑mail, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse e‑mail à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- Accédez aux 4 éditions de Mediacités gratuitement (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse) pendant 48 heures
- Découvrez un média 100% indépendant et sans aucune publicité
Notre survie dépend de vous
Un journalisme local indépendant, sans publicité, avec chaque semaine des enquêtes introuvables ailleurs : voilà ce que vous propose Mediacités. En vous abonnant aujourd’hui, vous pouvez faire la différence.
Je m’abonne
- Accès aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
- Résiliation facile à tout moment