Douze trous ont été creusés dans le jardin d’Anne Delvigne, membre de l’association Après ! et riveraine de l’usine de batteries plomb Exide Technologies. La terre près des framboises, celle près de la cabane de jardin, celle aux abords de la table de la terrasse… Douze prélèvements qui ont servi à mesurer la teneur en plomb de son sol, là où elle cultive ses légumes, là où ont joué ses enfants. Une mesure potentiellement dangereuse, au‐delà d’un certain grammage. Or le résultat est sans appel, révèle le site d’enquêtes sur l’environnement Vakita, qui a procédé aux prélèvements : le jardin d’Anne Delvigne dépasse largement le seuil d’alerte fixé par le Haut conseil de la santé publique.
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