L'institut chargé par le Grand Lyon de mener des analyses de sang sur 300 personnes exposées aux « polluants éternels », qui ont contaminé le sud de l'agglomération, vient d'essuyer un nouveau refus de financement.
Dans la bataille contre les « polluants éternels » que sont les PFAS, il y a les annonces à grands renforts de communication – comme l’adoption, lors du conseil municipal de Lyon de ce 27 mars, d’une « Stratégie de protection », avec mise en place d’un « comité de suivi interne » à la Ville – et les dossiers qui s’enlisent en coulisses. C’est le cas de la mission d’évaluation de la contamination aux PFAS, une vaste étude scientifique initiée par le Grand Lyon en 2023, dont Mediacités vous avez raconté, en janvier dernier, les difficultés de financement.
D’après nos informations, ces travaux qui doivent permettre « de mieux comprendre les causes et les impacts de ces pollutions sur l’environnement et les populations », dixit le président de la Métropole Bruno Bernard, accuseront