C’est curieux, chez les politiques, ce besoin d’écrire des livres… D’autant plus curieux que, souvent, cette graphomanie laisse les lecteurs profondément indifférents. Si l’on en croit les chiffres de vente, du moins. Ces dernières semaines, la presse nationale s’est intéressée à plusieurs reprises à l’accueil réservé en librairie aux – très nombreux – ouvrages écrits par les membres du gouvernement.
De Bruno Le Maire (quatre livres depuis le début du quinquennat) à Marlène Schiappa