Près d’une heure de conférence de presse sans que son nom ne soit prononcé. 42 pages de dossier de presse dans lequel il n’apparaît qu’une seule fois, très sobrement, pour rappeler que la Folle journée a été « créé[e] à Nantes en 1995 par René Martin ». Ce 2 décembre, pour la première fois depuis trente‐et‐un ans, son fondateur est absent de la présentation d’une édition de ce qui est devenu le plus important festival de musique classique en France. Sur la scène, dans les paroles, dans les textes, mais pas dans les têtes.
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