Au Progrès, une affaire de harcèlement sexuel gérée « à l’ancienne »

Absence d'enquête interne, sanction minimale, accompagnement inexistant de la victime… Un cas de harcèlement à l'encontre d'une hôtesse d'accueil du journal lyonnais interroge sur l'inertie de l'entreprise face aux violences sexistes et sexuelles.

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A l'entrée du siège du Progrès, dans le quartier de la Confluence, à Lyon. Photo : N.Barriquand/Mediacités.

« Mon harceleur s’en tire avec une tape sur les doigts. Moi j’ai fait une dépression et j’ai perdu mon boulot. » Depuis près d’un an et demi, Sofia (prénom d’emprunt) ne parvient pas à se défaire d’un profond sentiment d’injustice. Hôtesse d’accueil au siège du journal Le Progrès à Lyon, dans le quartier de la Confluence, la jeune femme affirme avoir été victime de harcèlement sexuel sur son lieu de travail, de la part d’un

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Publié le

Temps de lecture : 6 minutes

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Par Mathieu Périsse