Le député de Haute-Garonne a testé le simulateur de douleurs ovariennes élaboré par deux homologues, à l'approche du vote sur l'instauration d'un congé menstruel. Malgré l'efficacité du dispositif, le texte vient d’être rejeté en commission.
Deux électrodes au niveau des ovaires imaginaires de plusieurs parlementaires pour simuler les douleurs de règles. C’est le dispositif mis en place par les députés Marie‐Charlotte Garin (Les Écologistes) et Sébastien Peytavie (Génération.s) pour convaincre leurs homologues masculins de voter une loi en faveur d’un congé menstruel en France. Selon leur proposition, ce congé pourrait aller jusqu’à 13 jours d’arrêt‐maladie par an, sans carence, pour les femmes souffrant de menstruations incapacitantes.
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