Transplanter un arbre est‐il une alternative viable à l’abattage ?

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Ces micocouliers hauts de dix mètres ont été prélevés dans un parc et implantés place Dupuy lors de la rénovation de la Halle aux Grains à la fin des années 1990. / Photo Louise Hébrard

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Temps de lecture : 7 minutes

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Par Caroline Carissoni

Alors que les arbres tombent à Toulouse, pourquoi la transplantation n'est-elle pas plus souvent envisagée ? Systématisée dans certains pays, cette méthode n'est que peu pratiquée en France. La délicatesse de l’opération et son coût ne sont pas les seuls freins.

Chaque semaine, les arbres tombent dans l’agglomération toulousaine. À titre d’exemples, 1 660 arbres seront effacés pour laisser place au tracé de la troisième ligne de métro ; une soixantaine de micocouliers et un cèdre sexagénaire sont menacés par le projet de renouvellement urbain dans le quartier des Trois Cocus au nord de Toulouse ; sans compter les centaines de tronçonnages prévus le long de l’A69

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