« Don’t shoot the messager » (« ne tirez pas sur la messagère »). C’est avec ce slogan utilisé dans les pays anglo‐saxons pour soutenir les lanceurs d’alerte que Sarah Joséphau a mis en scène vendredi 16 mai sa prise de parole sur son compte LinkedIn. Dans sa publication, l’ancienne coprésidente du supermarché coopératif rezéen Scopéli demande le retrait immédiat de la plainte pour « diffamation » dont elle fait l’objet de la part de cette coopérative.
Elle dénonce une « procédure‐bâillon » déposée par le supermarché, dont elle a assuré la coprésidence de 2019 à 2022 (en duo d’abord, puis seule après la démission de son binôme). Soit une action en justice visant à intimider lanceurs et lanceuses d’alerte ou, selon la définition qu’en donne Sarah Joséphau, à tenter de « silencier et décourager les victimes de violences en portant plainte contre elles ».
Comment Scopéli, l’une des têtes de gondole hyper médiatisée du secteur de l’économie sociale et solidaire (ESS) de la métropole de Nantes avec son chiffre d’affaires de plus d’un million d’euro a‑t‐elle pu en arriver là ? Pour le comprendre, revenons en arrière.
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