Députée européenne depuis l’an dernier, Marion Maréchal affiche déjà, à 35 ans, un copieux curriculum vitae : ancienne députée du Vaucluse, ancienne conseillère régionale de Provence‐Alpes‐Côte d’Azur, fondatrice et ex‐directrice générale de l’Issep, l’école d’extrême droite qu’elle a créée à Lyon, ex‐vice‐présidente du parti Reconquête!… Mais une très discrète ligne de son CV, que Mediacités révèle aujourd’hui, pose particulièrement question. Elle interroge sur la façon dont la petite‐fille de Jean‐Marie Le Pen a préparé et financé sa campagne aux élections européennes de 2024, et sur les liens d’affaires qu’elle entretient avec
Le très obscur et rémunérateur emploi de Marion Maréchal à la veille des européennes 2024
Selon les informations de Mediacités, l’ancienne tête de liste du parti Reconquête! a opportunément bénéficié d’un poste de « directrice développement » de la part d’un prestataire de sa campagne. Au cœur de ce montage, le député RN de la Drôme Thibaut Monnier.
