À l'occasion des élections municipales de 2020, la maire de Lille s'était engagée à appliquer les recommandations de Transparency International France pour renforcer la transparence de la vie démocratique locale. À mi‐mandat, l’ONG a attribué les bons et mauvais points à Martine Aubry.
L’ONG Transparency International France, qui milite pour un renforcement de la transparence de la vie démocratique locale, a publié le 17 janvier dernier son bilan à mi‐mandat du respect des collectivités en la matière. À l’occasion des dernières élections municipales et régionales de 2020, 27 exécutifs locaux – dont la ville de Lille – s’étaient en effet engagés à appliquer six recommandations de l’ONG.
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Profitez de toutes nos enquêtes
Les informations exclusives de Mediacités sont le fruit du travail de nos rédactions locales. Soutenez un média 100% indépendant avec 0% de publicité !
Je m’abonne pour 69 € par an ou 7,90 € par mois
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- J’empêche les pouvoirs locaux de gouverner en rond
- Je peux résilier mon abonnement à tout moment et facilement