Le club de Tony Parker a‑t‐il les yeux plus gros que le ventre ? En prenant la tête de son club de jeunesse il y a dix ans, « TP » avait importé une vision très américaine du « basket business » dans un club resté jusqu’alors très dépendant des subsides publics. Avec une ambition : devenir l’un des meilleurs clubs européens. Non sans succès : en 2021, l’Asvel obtient une licence permanente qui lui assure d’évoluer pendant dix ans au sein de l’Euroligue.
Mais cette ascension a un coût, comme le révèle un rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC), qui a a analysé les finances du club pour les saisons de 2018/2019 à 2022/2023. A la différence de
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