À Nantes, malgré la perte de son agrément, Anticor poursuit sa chasse aux corrompus

Il est l’un des plus actifs de France. Le groupe local d’Anticor à Nantes ne souffre pas des conséquences liées à la perte d’agrément de l’association anticorruption. Bien au contraire, il suit de près les 13 enquêtes préliminaires dont il est à l’origine.

Antoine Hubert
Antoine Hubert, co-référent d'Anticor 44. Photo : Antoine Hubert

Le couperet est tombé le 26 décembre dernier. Trois ans après le début de ce feuilleton politico‐judiciaire (lire l’encadré ci‐dessous), Anticor perd l’agrément ministériel qui lui permettait de se porter « partie civile » dans des affaires de corruption. Ou, en d’autres termes, de représenter les citoyens qui ne peuvent pas agir en justice dans ce genre de cas. 

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Temps de lecture : 4 minutes

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Par Antony Torzec