On peut parler de paradoxe… Les salles de consommation de drogues à moindre risque ont beau être plébiscitées par les professionnels de santé, elles restent des épouvantails politiques aux yeux des pouvoirs publics, peu désireux de soutenir des lieux souvent rebaptisés hâtivement « salles de shoot » par leurs opposants. Le cas lyonnais l’illustre à merveille.
Pendant plus d’un an, Gilles Penavayre, chargé de
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Envie de lire la suite ?
1€ le premier mois
Puis 7,90€ par mois
Je teste !
- Accès aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
- Résiliation facile à tout moment
Mediacités offre l’accès à cet article aux lecteurs de News2Com
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité