Le Pavillon Mazar est toujours une coquille vide

Le bâtiment classé aux Monuments historiques reste vide depuis l’éviction du groupe Merci. Son rachat par l’homme d’affaires toulousain Thierry Oldak, n'y a rien changé. De quoi s’interroger sur la préservation de sa vocation culturelle à moyen terme.

Pavillon Mazar Rémi Benoit
Le Pavillon Mazar. / © Rémi Benoit

Joyau patrimonial toulousain du 19e siècle dans le quartier de La Bourse, à Toulouse, l’ancienne manufacture de draps reste désespérément vide, depuis l’éviction il y a trois ans du groupe Merci. La troupe d’expérimentation et de recherche de théâtre a occupé pendant plus de vingt ans les 400 m² sous huit mètres sous plafond du bâtiment, avant de plier bagage à l’issue de dix ans de procédures judiciaires avec les anciens propriétaires.

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Temps de lecture : 2 minutes

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Par Armelle Parion