« Corruption active » ; « prise illégale d’intérêts » ; « recel de corruption » ; « recel de prise illégale d’intérêts ». Les mots sont lourds et marquent les esprits. Voilà que Martine Aubry, qui a fait de la probité l’un de ses marqueurs en politique, est à son tour inquiétée par la justice. C’est ce que nous apprend la révélation par nos confrères de BFM, le 20 septembre, de l’ouverture pour ces motifs d’une enquête préliminaire contre Martine Aubry par le parquet de Lille. L’annonce a aussitôt « réjoui » la députée Renaissance Violette Spillebout, comme elle l’a indiqué dans un communiqué.
L’ancienne tête de liste macroniste aux municipales de Lille – et ancienne directrice de cabinet de Martine Aubry – savoure d’autant plus ce moment qu’elle est à l’origine de cette enquête préliminaire. Et que toute son énergie est orientée vers la prise du Beffroi en 2026. En décembre 2021, Violette Spillebout a déposé un article 40
Qu’est‐ce qu’un article 40 ?
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