René Martin : les fausses notes financières du pape de la Folle Journée de Nantes

Depuis des décennies, René Martin flèche, via ses 14 festivals ou saisons de concerts, des millions d’euros d’argent public et fait vivre des milliers d’artistes et techniciens. Un système centralisé autour du directeur artistique où la porosité entre ses dépenses personnelles et professionnelles est grande. Premier volet d’une enquête menée par La Lettre du Musicien et Mediacités.

Le Nantais René Martin, directeur du Créa Folles journées. Montage : Jade Bourgery / La Lettre du musicien

Les spectateurs en sont ressortis, une nouvelle fois, « émerveillés ». Près de 60 000 personnes ont assisté cet été à la 45e édition du Festival international de piano de La Roque d’Anthéron. Pendant ces quatre semaines, René Martin, co‐fondateur du grand évènement pianistique comme de la Folle Journée de Nantes, loge avec femme, enfants et nounou, dans une jolie villa avec piscine du village provençal.

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Envie de lire la suite ?

1€ le premier mois

Puis 7,90€ par mois

Je teste !

  • Accès aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
  • Résiliation facile à tout moment

Publié le

Temps de lecture : 8 minutes

Favorite

Par Thibault Dumas