Les footballeurs vont bien, merci pour eux

Revue de presse du 22 décembre : quatre infos sur la région lilloise repérées par la rédaction de Mediacités.

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Revue de presse du 22 décembre : quatre infos sur la région lilloise repérées par la rédaction de Mediacités.

Les salaires mirobolants du Losc

Vendredi, L’Equipe publie un grand guide sur le salaires des footballeurs de Ligue 1. Sans surprise, le salaire moyen des Lillois (75 000 € par mois) se situe à des années lumières de celui des Parisiens (470 000 € ) ou des Monégasques (198 000 €). Mais les joueurs du Losc ne sont pas à plaindre, loin de là ! Ainsi, Marko Basa empoche 160 000 € par mois, Eder et Vincent Enyeama gagnant 150 000 € chacun. Le coach, Patrick Collot, « se contente » quant à lui de 15 000 € mensuels.

Loyers encadrés à Lille

Vendredi toujours, Libération raconte la longue journée d’Emmanuelle Cosse dans le Nord, rythmée par les visites et les annonces. La ministre du Logement a notamment révélé que Lille sera la deuxième ville de France à mettre en place l’encadrement des loyers, après Paris, et ce dès le 1er février 2017. Ce sont principalement les petits logements qui devraient profiter de cette régulation, soit les trois quarts des habitations de la ville.

Ce gourmand Monsieur Lopez

Encore du football ! Mediacités s’inquiétait la semaine dernière de la vente du Losc au sulfureux Gérard Lopez. Samedi sur RMC, Marc Ingla, futur directeur général, a détaillé le projet du repreneur, basé sur « les nouveaux talents, jeunes ». A ceux qui doutent de la capacité du businessman à redresser un club aux finances exsangues, il répond : «  Le projet est pour être plus grand dans 2, 3, 5, 10 ans (…) On veut équilibrer les finances. Il y aura une injection d’argent, un nouveau management. » Enfin, Marc Ingla a confirmé que des discussions étaient aussi en cours pour le rachat du club portugais Gil Vincente par l’homme d’affaires hispano‐luxembourgeois.

Aubry mise en examen

Au FN, on n’aime visiblement pas être comparé au président d’honneur… du FN. Lors du conseil municipal du 2 octobre 2015, Martine Aubry avait mis en parallèle les propos d’Éric Dillies, élu local d’extrême droite, sur le réchauffement climatique, et ceux de Jean‐Marie Le Pen niant la Shoah. La maire PS de Lille a été mise en examen pour « diffamation », annonce mercredi La Voix du Nord. L’entourage d’Aubry se dit « très serein », étant convaincu que le propos de l’élue « n’est pas constitutif d’une diffamation ».

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Par Sylvain Morvan