«Escroquerie aggravée » et « abus de confiance »… Les qualificatifs juridiques qui valent convocation au tribunal correctionnel pour quatorze prévenus, dont le maire de Roubaix, son premier adjoint, des membres de leurs familles et d’autres élus de la ville, sont très lourds. Depuis la révélation de ce rendez-vous de justice, la ville est en émoi et bruisse aussi de rumeurs sur d’autres dossiers judiciaires qui seraient en cours. Mediacités s’est plongé dans les arcanes des structures de financement politique incriminées. Et a été de surprise en surprise.
Ce que cache « l’escroquerie aggravée » reprochée au maire de Roubaix
Quatorze personnes, dont le maire de Roubaix Guillaume Delbar et son 1er adjoint Max-André Pick, sont convoqués les 7 et 8 octobre au tribunal correctionnel de Lille. Au cœur des accusations ? Un système très sophistiqué de fraude fiscale en marge du financement d’activités politiques, comme Mediacités est en mesure de le détailler.
