Dans son pavillon de Pierre‐Bénite, Thierry Mounib n’en finit pas d’entasser les rapports et les coupures de presse sur « l’affaire Arkema ». Pour ce retraité, l’usine, vaste amas de tuyauterie et de cheminées dressé à quelques encablures de sa maison, était un élément du paysage. Elle est aujourd’hui le rappel d’une « trahison ». Une blessure révélée par un documentaire de l’émission « Vert de rage », diffusé par France 5 en mai 2022.
Prélèvements et analyses de laboratoire à l’appui, l’enquête dévoilait l’existence d’une vaste pollution aux substances perfluorées, les PFAS, une famille de près de 4 000 composants chimiques utilisés dans de nombreuses applications industrielles, appelés « polluants éternels ». Des molécules retrouvées dans l’air, dans l’eau du Rhône et même dans
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