Dès la fin du premier confinement et de la trêve hivernale, prolongée cette année jusqu’au 10 juillet en raison de l’épidémie de Covid‐19, les procédures d’expulsions de squats se sont multipliées à Toulouse. Une dizaine de femmes, d’hommes et d’enfants rue Roquelaine, plusieurs dizaines au squat Cazeneuve aux Minimes, ou encore 85 autres à l’ancien Ehpad de Blagnac ont été évacués ces derniers mois. Après la fermeture du squat de l’avenue de Muret suite à l’incendie de février dernier, les autorités ont confirmé leur inflexibilité en la matière.
L’entrée en vigueur du reconfinement n’offre pas de répit aux occupants de squats.
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