
La dissolution de Nantes Révoltée fait du surplace
Fin janvier, quatre jours après des dégradations en marge d’une manifestation, Gérald Darmanin annonçait la dissolution de Nantes Révoltée. Un mois après cette déclaration tonitruante, ses avocats n’ont toujours « rien reçu » du ministère de l’Intérieur, qui affirme de son côté que « la procédure suit son cours ».