
Laurence Garnier fait une entrée – remarquée – au Sénat
Nouvelle sénatrice, la cheffe de file de l'opposition nantaise a fait ses premiers pas au palais du Luxembourg cette semaine. Et est déjà la cible des critiques de l'une de ses collègues.
Nouvelle sénatrice, la cheffe de file de l'opposition nantaise a fait ses premiers pas au palais du Luxembourg cette semaine. Et est déjà la cible des critiques de l'une de ses collègues.
Le média indépendant Disclose publie cette semaine une longue enquête sur les pratiques illégales du géant de l'agroalimentaire basé en Mayenne. Parmi de nombreuses révélations, la pollution causée par deux usines du groupe dans le département, à Bouvron et au Vallet, près de Nantes.
Le centre, ouvert il y a un an, a bénéficié d’un soutien indirect - et limité - de l’État, via l’ARS Pays de la Loire. Ce qui crée des divergences d’interprétation politique aujourd’hui. Mediacités s’est procuré la dernière lettre qu’avait adressée la maire de Nantes à la ministre.
Après les révélations de Mediacités sur ses pratiques douteuses, la majorité du maire Alain Royer, se déchire. Quatre de ses adjoints ont présenté leur démission du conseil municipal.
Si l’ancien ministre de l’Environnement avait été présent, il aurait voté en faveur de la dérogation accordée aux betteraviers pour l’utilisation de ces pesticides tueurs d’abeille. Mais il n’a pas pris part au scrutin, contrairement aux autres députés du département, en désaccord sur la question.
Depuis 2018, la loi pour l’égalité alimentaire oblige les communes à proposer au moins un repas végétarien par semaine dans les cantines. Ce que toutes les villes de la Métropole nantaise ne respectent pas. Et la marche est encore haute pour atteindre les deux repas hebdomadaires promis par Johanna Rolland lors de la campagne.
Après nos révélations sur son récent accident de voiture et une tentative d'escroquerie à l'assurance, Alain Royer a du reconnaître les faits devant son conseil municipal, lundi 28 septembre. Et se trouve confronté à deux nouvelles plaintes.
Lors du confinement la Métropole de Nantes annonçait le déblocage de fonds spéciaux pour venir en aide aux locataires rencontrant des difficultés à payer leur loyer du fait de la crise sanitaire. Près de six mois plus tard, ont-ils bien été versés et à qui ? Réponse de Mediacités à la question d'une lectrice, Anne.
Réélue à la tête de la ville et de la métropole de Nantes en juin dernier, l'élue socialiste prend aussi celle de France Urbaine, association et outil d'influence des grandes villes et métropoles françaises.
L’association regroupant les élus des grandes collectivités françaises élit aujourd’hui son président. La maire de Nantes est en bonne position pour succéder au toulousain Jean-Luc Moudenc. Et continuer de faire son trou au niveau national.
Cinq élus métropolitains de Rezé, quatre de Nantes et un de Saint-Herblain ont choisi de constituer un groupe autonome au sein de la majorité de gauche à la Métropole. Objectif affiché : porter une "parole libre" et de sortir des débats "nanto-nantais".
Après la ville de Nantes, c'est la Métropole qui devrait se doter d'une charte déontologique régulant l'action des élus. Le document est actuellement en cours de préparation.